Meilleure qualité de l’air : quelle valeur viser pour améliorer la santé ?
Pour entraîner une baisse significative de la mortalité due aux particules fines, il faudrait baisser leur niveau moyen d’au moins 3 microgrammes par m3 en moyenne annuelle, conclut une étude interdisciplinaire menée par des chercheurs de l’Inserm, du CNRS, de l’Inra, d’Atmo Auvergne Rhône-Alpes et de l’Université Grenoble Alpes. Ce travail publié dans Environment international donne également un ordre de grandeur des coûts de la pollution en milieu urbain : 1200€ par habitant et par an dans les agglomérations de Lyon et Grenoble.
Which decreases in air pollution should be targeted to bring health and economic benefits and improve environmental justice? Xavier Morelli, Stephan Gabet, Camille Rieux, Hélène Bouscasse, Sandrine Mathy, Rémy Slama. 1er juin 2019, Environment international. DOI : https://doi.org/10.1016/j.envint.2019.04.077