Ces scientifiques étrangers qui ont choisi la France et le CNRS

Institutionnel

Le programme « Make our planet great again », lancé en juin 2017 à l’appel du Président de la République Emmanuel Macron, tient sa première conférence le 1er octobre 2019 à Paris. Sur les 42 scientifiques accueillis en France pour des séjours de trois à cinq ans, 37 développent leur activité dans des laboratoires du CNRS et de ses partenaires. Le CNRS, qui joue en outre un rôle majeur dans la mise en œuvre de cet appel, est de loin l’organisme de recherche le plus impliqué dans ce projet.

Au-delà de ce programme, la qualité des emplois et la grande liberté de recherche au CNRS attirent aussi les talents étrangers, nombreux à passer les concours de recrutement.

  • Depuis plusieurs années, près d’un lauréat sur trois aux concours de chercheurs est de nationalité étrangère.
  • Au 31 décembre 2018, le CNRS compte dans ses effectifs 5 065 personnels de nationalité étrangère,
  • dont 2 513 parmi ses effectifs permanents, soit 10,2 % (ils étaient 9,2 % en 2014, 5,3 % en 1999).
  • Parmi les permanents, ils et elles représentent 17,8 % des chercheurs et 3,9 % des ingénieurs et techniciens.
  • Plus de 90 nationalités différentes sont recensées parmi les personnels permanents. Celles de l’Union européenne sont les plus représentées (67,1 % des personnels permanents étrangers), avec au premier rang l’Italie.

Découvrez dans ces pages quelques portraits de ces scientifiques venus de l’étranger, et les raisons qui les ont conduits à choisir la France et le CNRS.

Contact

Véronique Etienne
Attachée de presse CNRS