Soutien à Fariba Adelkhah
Fariba Adelkhah, anthropologue et directrice de recherche au Centre de recherches internationales (CERI - Sciences-Po/CNRS), a été arbitrairement emprisonnée en Iran du 5 juin 2019 au 3 octobre 2020 où elle a obtenu une « libération temporaire » et a pu regagner son domicile avec une assignation à résidence sous le contrôle d’un bracelet électronique.
Roland Marchal, chargé de recherche au Ceri et prisonnier scientifique en Iran, comme Fariba Adelkhah, a été libéré le 20 mars 2020.
Le CNRS condamne avec la plus grande fermeté ces emprisonnements arbitraires qui font peser une menace sur la libre circulation indispensable à l’exercice de la recherche et demande sa libération définitive.
Lien de recherche sur Twitter #FreeFariba #FreeRoland des tweets du CNRS
23-24/09/2021 : "Liberté scientifique et risques du métier : la recherche comme profession". Rencontre organisée en hommage à Fariba Adelkhah dans le cadre du séminaire « Sociologie et anthropologie sociale du politique. Penser en pensant à elle » du CERI en collaboration avec le FASOPO et le comité de soutien à Fariba Adelkhah.
03/10/2020 : Libération temporaire de Fariba Adelkhah, assignée à résidence sous le contrôle d’un bracelet électronique. Le CNRS demande sa libération définitive
18/05/2020 : Le CNRS demande la libération immédiate de Fariba Adelkhah, anthropologue et chercheuse au Centre de recherches internationales (Ceri - Sciences-Po/CNRS), emprisonnée arbitrairement depuis le 5 juin 2019. Roland Marchal, chargé de recherche au Ceri et prisonnier scientifique en Iran, comme Fariba Adelkhah, a été libéré le 20 mars 2020
18/05/2020 : Entretien avec Roland Marchal : « J’ai été un otage académique »
21/03/2020 : Le CNRS se réjouit de la libération de Roland Marchal et demande celle de Fariba Adelkhah
10/02/2020 : Communiqué du Comité de soutien à Fariba Adelkhah et Roland Marchal, prisonniers scientifiques en Iran
16/01/2020 : Le CNRS demande la libération immédiate des chercheurs emprisonnés en Iran
17/10/2019 : Le CNRS proteste vigoureusement contre la détention de deux chercheurs en Iran